Les actualités de l'entreprise
ORIENTACTION EMPLOI

L'ensemble des actions à mettre en œuvre pour trouver la bonne personne correspondant aux compétences souhaitées pour un poste vacant ou en création s'avère de plus en plus complexe dans un monde évolutif, concurrentiel et digital.

Le processus de recrutement s'étant énormément rapproché du marketing, les entreprises doivent s'adapter aux nouvelles tendances et utiliser des outils efficaces.

Trouver la bonne recrue peut prendre du temps. A l'inverse, ne pas avoir suffisamment de temps impactera à court, moyen ou long terme votre marque employeur et c'est la raison pour laquelle de plus en plus d'entreprises externalisent ce processus à des cabinets de recrutement.

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Après un premier chèque de 750 millions d'euros, le gouvernement s'apprête à en signer un autre, de 2 milliards cette fois-ci, pour renflouer France compétences, l'instance nationale de la formation professionnelle et de l'apprentissage, victime d'un redoutable effet de ciseau depuis la crise du Covid. C'est ce qui ressort du projet de budget rectificatif pour 2021 présenté ce mercredi en Conseil des ministres.

Créée avec la réforme Pénicaud de 2018, France compétences sert de gare de triage des fonds de formation mutualisés, c'est-à-dire assis sur la cotisation formation et apprentissage des entreprises.

Administrée par l'Etat (qui en a le contrôle), les partenaires sociaux et les régions, en plus de deux personnalités qualifiées, c'est elle qui détermine chaque année la répartition entre les différentes enveloppes : alternance, PME de moins de 50 salariés , compte personnel de formation (CPF), ou encore conseil en évolution professionnelle. Celle dévolue à la formation des chômeurs est fixée par l'Etat (1,6 milliard par an en moyenne).

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Changer de vie, frein n°1 : « Ne pas savoir exactement ce que l’on veut »

On ressent souvent un désir de changement mais dans quel but ? Quel job nous correspond vraiment ? Et dans quel environnement ? Ne risque-t-on pas de se tromper ? Comment être sûr ? Ce type de questions constitue le premier frein au changement. Car nous ne sommes en mesure d’avancer que si nous avons un objectif précis. C’est pourquoi, quatre-vingt pour cent des personnes qui éprouvent un désir de changement ne changent jamais. Elles ne savent pas ce qu’elles veulent vraiment et n’entreprennent pas forcément le travail nécessaire pour le savoir. Avant de changer, il faut savoir ce que l’on veut.

 

Changer de vie, frein n°2 : se laisser aller au « train-train »

Imaginez que vous pilotez un A380. Vous avez fait décoller l’énorme machine dans les airs et vous filez maintenant à près de 1000 km/h en direction de New York. Le ciel est bleu. Un vent léger vous pousse vers le large, bercé par le ronflement des réacteurs. Vous décidez de passer en pilote automatique. C’est l’ordinateur de bord qui va maintenant piloter l’avion.

Vous n’avez plus rien à faire. Vous pouvez faire autre chose : faire un point sur la météo, vous restaurer, discuter avec l’hôtesse de l’air qui vous fait du charme depuis le check du matin. Suivre ses habitudes, c’est comme être en pilote automatique. Quand vous êtes en pilote automatique, vous n’avez pas besoin de réfléchir à ce que vous faites. Vous suivez un scénario écrit d’avance, sans même avoir y penser, comme si un petit programme à l’intérieur de notre inconscient, prenait des décisions à notre place et dirigeait nos comportements.

Source et suite ici : https://www.orientaction.com/changer-vie-freins-limites-professionnel-personnel/

Il est en poste, bien dans son job et ne se pose pas forcément la question de le quitter. Mais, il n’en est pas moins ouvert aux intéressantes opportunités professionnelles. Le candidat passif est un spécimen difficile à sourcer pour un recruteur et pourtant riche en potentiel !

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Pourquoi s’intéresser aux candidats passifs ?

D’abord parce qu’ils constituent un important vivier : 70 à 80 % des candidats sur le marché de l’emploi !

Le principal intérêt que présente ce type de candidat, aux yeux d’un recruteur, c’est qu’il est a priori un élément fiable, dont son employeur actuel est satisfait, puisqu’il est encore en poste. Vous pourrez également plus facilement recueillir des informations sur ses missions via notamment son activité sur les réseaux sociaux.

Second atout de taille : il n’est pas actif sur le « marché » des candidats. Il est donc peu probable que vous soyez en compétition avec un autre recruteur pour attirer à vous ce talent, sauf dans certains secteurs particulièrement en tension.

Enfin, le fait que cette personne ne soit pas en recherche active d’emploi est rassurant sur sa propension à s’engager auprès d’un employeur sur le long terme.

Mais comment capter l’attention de ces candidats qui s’ignorent ? On vous donne les meilleurs outils pour réussir à recruter la perle rare !

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Le salon de l’informatique et de la sécurité vous ouvre ses portes le 17 et 18 novembre à la salle Derichebourg à Brive.

Pour sa première édition l’accent sera mis sur la sécurité et la protection de vos données.

Retrouvez notre invité spécial Arnaud ROUZADE, pour une conférence sur la CyberSécurité et les moyens à mettre en œuvre dans votre entreprise.

Des ateliers et des stands seront à votre disposition pour vous présenter des solutions innovantes adaptées à votre entreprise.

Source et suite ici : https://www.salon-informatique.fr

Les candidats connaissent leurs ambitions et les entreprises la fourchette du salaire qu’elles veulent proposer pour un poste. Pour autant, la rémunération est assez rarement mentionnée dès l’offre d’emploi, quand bien même elle serait un élément différenciant pour plus d’un candidat sur deux.

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